Mise en garde à vue, comment répondre à l’urgence de la situation

Mise en garde à vue, comment répondre à l’urgence de la situation

p>Les officiers de la police judiciaire possèdent un pouvoir spécifique pour réduire la liberté des citoyens. Il s’agit de la possibilité de mise en garde à vue. En droit français, cette mesure est fortement encadrée afin de limiter les différents abus. C’est pour cette raison que le gardé à vue dispose de plusieurs droits importants. Le premier est qu’il bénéficie d’un coup de téléphone afin de contacter ses proches et ses avocats. Sachez que c’est le premier geste à faire lorsque l’on est victime de cette procédure. C’est-à-dire qu’il faudra réclamer son droit à une assistance juridique et demandé le plus vite possible à voir un avocat.

Quelques conseils lorsque l’on est en garde à vue

Sachez qu’une personne qui est mise en garde à vue n’est pas aux sens stricts de la loi coupable. C’est pour cette raison qu’on lui confère quelques libertés plus ou moins importantes. Par exemple, il a droit à voir un médecin lorsqu’il ne se sent pas bien. Il ne va pas débourser le moindre centime, ce sera à l’autorité de police de régler la facture. Sachez que la durée de la garde à vue est strictement réglementée, n’ayez pas peur de la menace d’une prolongation. Dans la majorité des cas, le procureur de la République délivre que très rarement une prorogation de cette procédure. IL faut également éviter la panique, ayez toujours en tête que : «dans l’urgence un avocat à lyon pour une garde à vue». L’assistance de ce juriste est primordiale pour la suite de l’affaire. Il sera alors possible d’établir une stratégie pour défendre vos intérêts.

Quelques astuces à savoir en ce qui concerne la garde à vue

Lorsque l’on est interpellé et que l’on est mis en garde à vue. La police judiciaire est soumise à quelques obligations. Par exemple, elle doit énumérer certaines informations sur la procédure. Premièrement, elle doit donner la raison de la mesure ainsi que l’infraction que la personne est soupçonnée d’avoir faite. Il est aussi possible de donner des observations à un magistrat des conditions de détention. Ainsi, ce dernier pourra prendre en compte cet aspect pour juger des suites de l’affaire. Lorsque l’on nous questionne, sachez que l’on a le droit de garder le silence. C’est la meilleure solution afin de ne pas donner de faux renseignements. Ce n’est pas rare qu’une personne fasse un faux aveu sous la menace des agents de police.