Toutes les alimentations se valent-elles ?

Toutes les alimentations se valent-elles ?

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Qui dit alimentation, dit santé. Cela a toujours été associé mais encore plus aujourd’hui, lorsque l’on constate ce qu’une mauvaise alimentation peut engendrer sur notre état de santé.

En 2014, les messages diffusés par les organismes chargés de veiller  à l’amélioration de notre santé sont immanquables. Le programme national nutrition santé (PNNS), par exemple, qui a été créé en 2001,  a pour but de consolider et stabiliser le bon état de santé de l’ensemble de la population. Pour cela, l’élément essentiel dans cette quête étant la nutrition.

En effet, le renforcement du statut nutritionnel du peuple, est un enjeu important pour les politiques de santé publique présentées en France, en Union Européenne et dans le reste du monde. Un bon état de santé général est gage de protection. Les évolutions et recherches, nous ont prouvées que l’inadaptation des apports nutritionnels et l’insuffisance d’activité physique ont un rôle dans la causalité de nombreuses maladies.

Dans ces conditions, la prudence, la rigueur et l’organisation sont de mises quand on parle d’alimentation.

Manger correctement : faire la différence

Aujourd’hui, les consommateurs sont avertis et conseillés.

Mais pour compléter ces informations, afin que chacun y voit  plus clair au quotidien, nous vous donnons des indications et recommandations claires. Elles sont, d’ailleurs, applicables dès le plus jeune âge : parce qu’il n’est jamais trop tard ou trop tôt pour bien se nourrir.

Dans une recette enquête, on constatait que « 32% des Français de 18 ans et plus, étaient en surpoids, dont 14.5% étaient obèses. »

Bien qu’il n’y ait pas de différence au niveau des catégories socioprofessionnelles, on remarque des inégalités. Par exemple,  les jeunes garçons (de 11-14ans) sont plus enclin à être en surpoids, alors que quand ils arrivent vers l’âge de 15ans, cette courbe à tendance à diminuer.

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Il faut dire que jusqu’à nos 18ans, les envies et considérations personnelles sont les plus influentes sur notre manière de manger. Aussi bien sur la composition, la fréquence et la quantité de nos repas.

Qui plus est, avec la quantité d’informations à laquelle nous sommes confrontés, il n’est pas toujours évident de faire les bons choix.

Mais récemment, un livre d’or, paru sous le nom de Rapport Campbell permet de faire un tri parmi un certain nombre de renseignements. En tout cas, c’est aujourd’hui, la plus aboutie et la plus longue enquête n’ayant jamais été réalisée sur le sujet de la nutrition et de la santé. Durant 35 ans, l’Université Cornell, l’Université d’oxford et Académie chinoise, ont travaillées ensemble.

Principes d’une alimentation plus équilibrée

Cela   donne lieu à des préconisations que nous vous délivrons ici.

  •  Il est recommandé de ne pas dissocier les aliments des nutriments.

Définitions :

Nutriment : « Substance organique ou minérale, directement assimilable sans avoir à subir les processus de dégradation de la digestion ». Aliment : « Substance habituellement ingérée par un être vivant et lui fournissant les matières et l’énergie nécessaires à sa vie et à son développement ».

Aliments santéEffectivement, il ne faut pas distinguer la valeur des nutriments ou des substances chimiques extraites des aliments de l’aliment entier. Notre organisme est complexe et penser que nous sommes en mesure de faire des compartiments de bons aliments et des mauvais est un mirage. Puisqu’au final tout se mélange et votre repas forme un tout pour votre corps.

  • Ingérez des compléments alimentaires ou des vitamines n’est pas une solution.

C’est sûr, il y a des exceptions : par exemple sur le fait de compléter son apport en vitamine D, délivrée naturellement par le soleil, par des compléments spécifiques. Mais en clair, l’idée est de retenir que l’alimentation doit être intégrale : tous les composants ont pour but d’interagir ensemble. Ils n’ont pas vocation à être pris chacun de leur côté.

  • Cette vérité, vient mettre fin à une croyance commune :

« Il n’existe pratiquement aucun aliment végétal qui ne fournisse pas les mêmes nutriments, mais en mieux, que ceux fournis par les aliments d’origine animale. »

En effet, les aliments d’origine végétale, sont davantage gorgés de vitamines, minéraux et fibres que leurs homologues d’origine animale.

  • Notre alimentation joue un rôle décisif dans l’activation ou non de certaines maladies et de gènes nuisibles pour notre santé.

Ainsi, il est important de comprendre que nous sommes tous en capacité de nous éviter certains déboires sanitaires. L’ensemble de nos gênes ne sont pas tous actifs dans notre corps C’est notre environnement et notre alimentation qui joue un rôle déclencheur, dans la plupart des cas.

ROOMSAVEURSUne alimentation saine engendrera une bonne santé à tous les niveaux, car notre organisme est interconnecté.

Une alimentation végétarienne associée à des céréales a montré, dans différentes études, qu’elle pouvait combattre et éviter différentes maladies. Elle nous pousserait à être plus énergétiques. Egalement, en mangeant des aliments positifs pour notre corps, nous aidons à préserver la planète. Les aliments d’origine végétale demandent moins de ressources (terres, eau…) et pollue moins. De nombreux restaurants, ont  d’ailleurs pris le pli et proposent de plus en plus de repas végétariens. C’est le cas de RoomSaveurs, qui livre des plateaux repas équilibrés et sains. Vous serez aussi surpris d’apprendre que les conducteurs respectent l’éco conduite, pour effectuer leur livraison. C’est fait, vous possédez enfin toute les clefs pour changer et adapter vos habitudes alimentaires pour une meilleure santé.

Sources :

  • Bulletin d’études et des synthèses de l’Observatoire de la jeunesse
  • Le Larousse