C’est le passage obligé avant de pouvoir se tourner vers la partie pratique, nécessaire à l’obtention du fameux sésame. Tous les jeunes espèrent l’avoir pour accéder, le plus tôt possible, à une forme d’indépendance. Les parents quant à eux souhaiteraient que leurs enfants le réussissent rapidement, dans la mesure du possible, pour avoir moins de frais de cours d’auto-école.
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Le code est devenu payant.
Si les centres de conduite ne peuvent plus facturer de frais de présentation du candidat à l’examen, l’épreuve du code est en revanche devenue payante. Depuis un arrêté du 1er juin 2016, une redevance de 30 euros est demandée par l’organisme habilité à faire passer l’épreuve. Par conséquent, il est nécessaire de bien se préparer si l’on ne veut pas devoir se présenter plusieurs fois à l’examen.
Le code a changé.
Depuis le 2 mai 2016, une série de nouveaux tests sont arrivés dans la banque de questions de l’épreuve théorique. Au programme, des évaluations plus actuelles avec des mises en situation en vidéos. L’on cherche à pousser le candidat à mieux réfléchir sur son environnement de conduite. Il y a des questions sur la pollution et l’écoconduite, ainsi que sur la législation en matière de prévention sur la sécurité routière comme les sanctions en cas de conduite sous l’effet d’alcool ou de stupéfiants. Par ailleurs, des notions de mécanique sont également abordées, comme les composants du moteur pour vérifier les différents liquides, les procédés de changement d’ampoules ou de pneus en cas de crevaison, ainsi que les différents entretiens du véhicule à prévoir.
