Comme disait Jean-Marie Gourio, il « faut toujours faire attention à ce qu’on mange ! Le manger, c’est beaucoup plus que du manger, c’est de l’amour ». En effet, manger ne consiste pas qu’à s’alimenter, apporter uniquement le strict nécessaire à son corps afin que l’on puisse continuer à marcher, courir et travailler. Manger c’est bien plus que cela !
Certains s’en passionnent : des chefs étoilés au guide Michelin, en passant par la ménagère qui apprécie particulièrement concocter des bons petits plats à sa famille, tout le monde est concerné par la nourriture. Même l’Etat s’en préoccupe, notamment lorsqu’elle peut prendre l’aspect d’une potentielle dérive ou une préoccupation sanitaire: qui n’a jamais entendu parler du mythique slogan (matraqué sous toutes les publicités alimentaires) : « manger au moins 5 fruits et/ou légumes par jour » est bon pour la santé !
Voyez également, la quantité d’émissions culinaires qui foisonnent depuis plus de cinq ans sur les chaines de cette controversée télévision, qui font mettent sur le devant de la scène la cuisine faite « maison » mais aussi d’une cuisine saine, biologique ou celle de luxe.
C’est donc un fait, elle sait faire parler d’elle la cuisine : en bien, en mal, on s’en délecte, on s’en goinfre, on s’en moque mais nul ne pourra nier son avis sur la question. Et ce n’est pas la partie imputée au budget des familles, tous les mois, qui nous dira le contraire. D’ailleurs, en s’y intéressant de plus près, nous avons pu constater de vraies différences sur la façon que nous avons de nous alimenter depuis quelques années et particulièrement sur notre consommation d’une saison à l’autre.
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Que mange t-on réellement ?
Tout d’abord, en ce qui concerne la provenance des produits, les Français choisissent majoritairement des produits qui proviennent d’Europe comme le précise l’enquête de consommation : été-automne 2012.
En été, la sélection que nous effectuons de nos produits devient même quasi nationale, ce qui permet de préserver la planète avec une utilisation moins élevée de carbone (que produirait l’acheminement des produits non français).
En cette période estivale, nous ferions également moins appel aux produits venant d’Asie ou d’Amérique. Contrairement à notre prédilection pour les produits étrangers qui triple quasiment à l’automne. Nous passons par exemple à une consommation de 5% à 13% pour les aliments américains entre juillet et novembre.
Cela peut s’expliquer par le fait qu’en été, on mange plus de produits frais, de saison et de marchés locaux, notamment quand on est en vacances.
Qui plus est, dans le détail, on constate que d’une saison à l’autre la différence s’effectue plutôt au niveau des fruits : très populaire en été, le melon est aisément remplacé par d’autres fruits en automne. La tomate garde, pour sa part, un engouement assez similaire, en maintenant sa deuxième place dans le type d’aliment consommé d’une saison à l’autre par les Français.
Il en va de même pour le poisson, les viandes, et les légumes comme le montre les deux schémas ci-dessous.
Un point assez illogique vient, tout de même, se greffer à cette comparaison entre deux saisons : nous consommeront plus de produits en été qu’en hiver. La baisse serait égale à 30% d’une saison à l’autre.
Et dire que l’idée reçue laissait penser que nous mangions moins en été, il semblerait que le chiffre de consommation globale nous indique le contraire.
Les péchés mignons de l’été
Les 47% des Français qui ont l’impression de « trop manger » en été (selon un sondage de l’ifop/Upsa) avaient donc raison. Mais à dire vrai, ce n’est pas tant la quantité qui nous pose souci en été, c’est davantage la qualité des produits et des repas, qui nous portent préjudices.
La chaleur étant parfois pesante, on a tendance à moins s’alimenter. C’est alors que débute la pleine saison des salades, mais ces dernières sont bien souvent plus caloriques qu’il n’y parait, avec un assaisonnement gras. A cela s’ajoute, raisonnablement mais surement, les extras que l’on s’autorise : un barbecue par-ci, une glace par-là, un apéro là encore…
La période de Noel faisant finalement « presque » pâle figure face aux cocktails d’été et autres douceurs de saison.
Alors, pour vous aider à faire attention à votre ligne quand le soleil tape, voici quelques conseils :
Pour bien asseoir votre repas dans votre estomac, n’hésitez pas à boire de l’eau gazeuse ou une tisane à la fin. C’est un réflexe employé par 42% des Français, permettant de retarder la crise d’hypoglycémie de 16heures. S’en suit, parfois, pour 34% des interrogés, une promenade digestive, bénéfique.
Par défaut, il vous est recommandé de contourner joyeusement les fritures et les plats en sauce, au profit de plateaux repas frais et savoureux qui pourront directement vous êtes livrés au bureau ou à domicile, si vous avez la flemme de cuisiner, par le traiteur Room saveurs.
La collection de printemps-été 2014 disponible depuis leur site, devrait parfaitement convenir, notamment car tous les choix de coffrets repas sont équilibrés avec des proportions honnêtes.
La gamme biologique avec les plateaux repas Pause déjeuner vous garantira un repas sain, comme l’indique l’enquête dirigée par des experts en Royaume Uni. Les produits biologiques contiendraient, effectivement, plus d’antioxydants et moins de métaux lourds que les produits non biologiques.
Une astuce alimentaire non négligeable !